mardi 8 septembre 2009
TAGs: LA GUERRE SOUTERRAINE
Une enquête de Hugo Hayat pour jeudi investigation Canal+:
Chaque nuit, des tagueurs descendent sur les dangereuses voies électrifiées du métro parisien avec leurs bombes aérosols.
Il y a un an, l'un d'eux, Opéa, est mort, électrocuté. Plusieurs de ses amis ont été arrêtés et condamnés à quatre mois de prison avec sursis et 8000 euros d'amende, pour «dégradations en réunion».
Taguer est interdit. Quand on se fait arrêter, on risque jusq'à cinq ans de prison et 175000 euros d'amende.
Qu'est-ce qui pousse ces jeunes à prendre autant de risques pour peindre des fresques sur les murs, ou laisser simplement leur signature en lettres géantes calligraphiées ?
S'agit-il d'une démarche libertaire ? Ou d'un besoin constant d'adrénaline ?
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