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samedi 18 février 2012
mercredi 26 octobre 2011
Tunisie: un gouvernement d’union en discussion
Les premiers résultats partiels en Tunisie confirment l’avance d’Ennahda.
Le parti islamiste modéré arrive en tête dans 9 des 27 circonscriptions du pays.
Ennahda, désormais en position de force, célèbre “le jour de la renaissance”, tout en affichant l’ouverture aux autres partis:
“On va travailler ensemble. La Tunisie est pour tous les tunisiens, et même si nous sommes majoritaires, on ne veut pas être seuls, c’est la démocratie.”, déclare l’une des candidates d’Ennahda Souad Abdul-Rahim.
Pour ne pas gouverner seul, Ennahda engage la discussion, et notamment avec le Congrès pour la République, le CPR.
Ce parti de gauche emmené par l’ancien opposant Moncef Marzouki a crée la surprise. Il arriverait en 2e position.
“Les résultats sont encourageants, constate Moncef Marzouki. Il apparaît clairement que les tunisiens sont matures, car ils n’ont pas voté comme on aurait pu le craindre. Au final il y aura 3 ou 4 partis qui vont se partager les sièges, ce qui va faciliter la formation d’un gouvernement d’union.”
Les résultats définitifs et complets sont attendus dans la journée, mais Ennahda négocie déjà en vue d’une coalition au sein du nouvel exécutif, censé gouverner jusqu’au prochaines élections générales.
mardi 25 octobre 2011
Histoires d'îles: Djerba
Au fond du golfe de Syrtes, DJERBA est la plus grande île Tunisienne (522 KM2).
Elle est à 6 Kms du continent Tunisien par la chaussée romaine au départ d'El Kantara .
Elle compte 120 000 habitants avec trois villes principales HOUMT SOUK, la capitale, MIDOUM, ADJIM.
Sur la piste chaude, des oliviers millénaires, on en compte environ 500 000, des milliers de palmiers, des menzels, des huileries, des mosquées, des tisseries et poteries..
lundi 24 octobre 2011
"Mon fils a changé le monde, pas seulement la Tunisie", Manoubia Bouazizi
Pour Manoubia Bouazizi, les élections tunisiennes sont une victoire pour son fils, mort en janvier dernier après s‘être immolé par le feu. Mohammed Bouazizi, un jeune chômeur de 26 ans, n’avait pas supporté que la police lui confisque son étal de fruits et légumes. Son geste désespéré avait entraîné une vague d‘émeutes et de protestations à travers tout le pays.
« Je suis très très fière de lui. Grâce à Dieu, il a changé le monde, pas seulement la Tunisie. Je vais voter dans l’intérêt de mon pays. On a travaillé dur, on ne veut plus être opprimés, je souhaite que les femmes tunisiennes soient protégées et respectées ».
Pour beaucoup,la mort de Mohammed Bouazizi restera dans l’histoire comme le point de départ de la révolution du Jasmin qui a abouti à la chute du président Ben Ali et au déclenchement du printemps arabe.
samedi 13 août 2011
vendredi 12 août 2011
Tunisie : L'ex-chef de la sécurité de Ben Ali a été acquitté
Des peines de prison allant de quatre mois à six ans ont été prononcées ce vendredi par la justice tunisienne contre 23 proches du président déchu Zine el-Abidine Ben Ali.
Son ex-chef de la sécurité, le général Seriati, a été acquitté.
vendredi 21 janvier 2011
Mohammed Bouazizi: Martyre De La Tunisie
* Première Vidéo:
* Deuxième Vidéo:
* Troisième Vidéo:
Mohamed Bouazizi (محمد البوعزيزي), de son vrai nom Tarek Bouazizi (طارق البوعزيزي), né le 29 mars 1984 et mort le 4 janvier 2011, est un chômeur tunisien dont la tentative de suicide par immolation le 17 décembre 2010, qui conduit à son décès deux semaines plus tard, est à l'origine des émeutes qui concourent au déclenchement de la révolution dite parfois de jasmin évinçant le président Zine el-Abidine Ben Ali du pouvoir.
Fils d'un ouvrier agricole, Mohamed Bouazizi habite à Sidi Bouzid, ville moyenne de 40 000 habitants située dans le centre-ouest de la Tunisie. À la mort de son père, il doit arrêter ses études secondaires pour chercher un emploi et devient, faute de mieux, vendeur ambulant de fruits et légumes, cette activité constituant le seul revenu d'une famille de sept enfants.
Ne possédant pas d'autorisation officielle, il se fait confisquer sa marchandise à plusieurs reprises par les employés municipaux. Essayant de plaider sa cause et d'obtenir une autorisation et la restitution de son stock auprès de la municipalité et du gouvernorat, il s'y fait insulter et chasser.
Le 17 décembre 2010, après qu'on lui confisque son outil de travail (une charrette et une balance), il se rend à la municipalité, puis au gouvernorat pour protester, en vain. Désespéré, il s'immole par le feu devant le siège du gouvernorat. Il est transporté à l'hôpital local, puis à Sfax, et enfin au Centre de traumatologie et des grands brûlés de Ben Arous, près de Tunis.
Sa mère et sa sœur sont reçues par le président Zine el-Abidine Ben Ali, qui limoge le gouverneur de Sidi Bouzid et les agents municipaux concernés. Le décès de Mohamed Bouazizi est annoncé le 4 janvier 2011 à Ben Arous où il était hospitalisé.
Ses dernières paroles adressées à sa mère furent :
« Je quitte, maman, pardonne-moi, les reproches sont inutiles, je suis perdu sur un chemin que je ne contrôle pas, pardonne-moi, si je t'ai désobéi, adresse tes reproches à notre époque, pas à moi... »
L'acte désespéré de Bouazizi, qui « préfère mourir plutôt que de vivre dans la misère », provoque la colère parmi les habitants de Sidi Bouzid : des dizaines manifestent devant le siège du gouvernorat. Le mouvement social s'étend spontanément à d'autres municipalités du pays, malgré la répression. À l'appel de militants syndicaux, la révolte atteint Tunis, la capitale, le 27 décembre, avec environ mille citoyens exprimant leur solidarité avec Bouazizi et les manifestants de Sidi Bouzid. Le 28 décembre 2010, le président Ben Ali, qui s'est rendu au chevet du jeune homme, déclare à la télévision nationale : « J'ai suivi, avec inquiétude et préoccupation, les événements survenus ces derniers jours à Sidi Bouzid ».
Les manifestations insurrectionnelles vont néanmoins continuer, engendrant une révolution qui conduit à la fuite de Ben Ali en Arabie saoudite le 14 janvier 2011 et à la désignation d'un nouveau président.
Source: Wikipédia
* Deuxième Vidéo:
* Troisième Vidéo:
Mohamed Bouazizi (محمد البوعزيزي), de son vrai nom Tarek Bouazizi (طارق البوعزيزي), né le 29 mars 1984 et mort le 4 janvier 2011, est un chômeur tunisien dont la tentative de suicide par immolation le 17 décembre 2010, qui conduit à son décès deux semaines plus tard, est à l'origine des émeutes qui concourent au déclenchement de la révolution dite parfois de jasmin évinçant le président Zine el-Abidine Ben Ali du pouvoir.
Fils d'un ouvrier agricole, Mohamed Bouazizi habite à Sidi Bouzid, ville moyenne de 40 000 habitants située dans le centre-ouest de la Tunisie. À la mort de son père, il doit arrêter ses études secondaires pour chercher un emploi et devient, faute de mieux, vendeur ambulant de fruits et légumes, cette activité constituant le seul revenu d'une famille de sept enfants.
Ne possédant pas d'autorisation officielle, il se fait confisquer sa marchandise à plusieurs reprises par les employés municipaux. Essayant de plaider sa cause et d'obtenir une autorisation et la restitution de son stock auprès de la municipalité et du gouvernorat, il s'y fait insulter et chasser.
Le 17 décembre 2010, après qu'on lui confisque son outil de travail (une charrette et une balance), il se rend à la municipalité, puis au gouvernorat pour protester, en vain. Désespéré, il s'immole par le feu devant le siège du gouvernorat. Il est transporté à l'hôpital local, puis à Sfax, et enfin au Centre de traumatologie et des grands brûlés de Ben Arous, près de Tunis.
Sa mère et sa sœur sont reçues par le président Zine el-Abidine Ben Ali, qui limoge le gouverneur de Sidi Bouzid et les agents municipaux concernés. Le décès de Mohamed Bouazizi est annoncé le 4 janvier 2011 à Ben Arous où il était hospitalisé.
Ses dernières paroles adressées à sa mère furent :
« Je quitte, maman, pardonne-moi, les reproches sont inutiles, je suis perdu sur un chemin que je ne contrôle pas, pardonne-moi, si je t'ai désobéi, adresse tes reproches à notre époque, pas à moi... »
L'acte désespéré de Bouazizi, qui « préfère mourir plutôt que de vivre dans la misère », provoque la colère parmi les habitants de Sidi Bouzid : des dizaines manifestent devant le siège du gouvernorat. Le mouvement social s'étend spontanément à d'autres municipalités du pays, malgré la répression. À l'appel de militants syndicaux, la révolte atteint Tunis, la capitale, le 27 décembre, avec environ mille citoyens exprimant leur solidarité avec Bouazizi et les manifestants de Sidi Bouzid. Le 28 décembre 2010, le président Ben Ali, qui s'est rendu au chevet du jeune homme, déclare à la télévision nationale : « J'ai suivi, avec inquiétude et préoccupation, les événements survenus ces derniers jours à Sidi Bouzid ».
Les manifestations insurrectionnelles vont néanmoins continuer, engendrant une révolution qui conduit à la fuite de Ben Ali en Arabie saoudite le 14 janvier 2011 et à la désignation d'un nouveau président.
Source: Wikipédia
dimanche 16 janvier 2011
Protection Civile et Citoyenne En Tunisie Contre L'Insécurité
* Première Vidéo:
* Deuxième Vidéo:
Euronews - Le monde de luxe et de corruption dans lequel vivaient le président tunisien déchu et sa famille s’est écroulé – telle que l’une de leurs villas du bord de mer à Hammamet – mais la Tunisie risque aussi de le suivre dans sa chute. Le sentiment d’insécurité l’emporte dans beaucoup de villes, dont la capitale.
Les autorités ont montré que certains auteurs de pillages avaient été arrêtés; cependant, ils sont encore nombreux à courir les rues. Le principal syndicat tunisien a encouragé la formation de comités de défense dans les quartiers. Des bandes armées de partisans de l’ancien régime de Ben Ali semblent sévir dans certains endroits.
A Tunis, le manque de vivres inquiète aussi les habitants. De nombreux dépôts ont été pillés, et la distribution s’est arrêtée. “Il n’y a pas de farine, pas de pain et pas d’eau, se plaint un homme. Les magasins sont tous fermés ou presque. La situation est difficile. Que Dieu nous aide !”
Après avoir fait réprimer les émeutes dans le sang, le président Ben Ali et sa femme ont réussi à s’enfuir. Le neveu préféré du couple, Imed Trabelsi, n’a pas eu cette chance. Il est mort après une blessure à l’arme blanche à l’hôpital militaire de Tunis.
* Deuxième Vidéo:
Euronews - Le monde de luxe et de corruption dans lequel vivaient le président tunisien déchu et sa famille s’est écroulé – telle que l’une de leurs villas du bord de mer à Hammamet – mais la Tunisie risque aussi de le suivre dans sa chute. Le sentiment d’insécurité l’emporte dans beaucoup de villes, dont la capitale.
Les autorités ont montré que certains auteurs de pillages avaient été arrêtés; cependant, ils sont encore nombreux à courir les rues. Le principal syndicat tunisien a encouragé la formation de comités de défense dans les quartiers. Des bandes armées de partisans de l’ancien régime de Ben Ali semblent sévir dans certains endroits.
A Tunis, le manque de vivres inquiète aussi les habitants. De nombreux dépôts ont été pillés, et la distribution s’est arrêtée. “Il n’y a pas de farine, pas de pain et pas d’eau, se plaint un homme. Les magasins sont tous fermés ou presque. La situation est difficile. Que Dieu nous aide !”
Après avoir fait réprimer les émeutes dans le sang, le président Ben Ali et sa femme ont réussi à s’enfuir. Le neveu préféré du couple, Imed Trabelsi, n’a pas eu cette chance. Il est mort après une blessure à l’arme blanche à l’hôpital militaire de Tunis.
samedi 15 janvier 2011
Tunisie : Un Pays, Un Destin.
AFP - Voici le film des événements survenus vendredi en Tunisie où, à la suite d'un mois d'une crise sociale et politique sans précédent marquée par une répression sanglante, le président Ben Ali a fui le pays:
- Des milliers de manifestants se rassemblent dès le matin à Tunis et en province
- Le ministre tunisien des affaires étrangères Kamel Morjane estime possible la formation d'un gouvernement d'union nationale.
- Dans l'après-midi, à Tunis, les manifestants sont dispersés par la police à coups de grenades lacrymogènes. Des heurts violents opposent manifestants et policiers anti-émeutes. Un photographe français est blessé à la tête par un tir de gaz lacrymogène.
- Des blindés de l'armée se déploient devant les ministères de l'Intérieur, des Affaires étrangères et devant la Télévision et radio nationales.
- Ben Ali limoge son gouvernement dans le cadre de mesures d'apaisement annoncées la veille et appelle à des législatives anticipées dans six mois, déclare le Premier ministre Mohammed Ghannouchi, qui indique avoir été chargé de former le nouveau gouvernement.
- Des voyagistes rapatrient des milliers de touristes européens. Air France annule ses vols à destination et à partir de Tunis.
- L'état d'urgence est décrété dans tout le pays. L'armée contrôle l'aéroport de Tunis qui est fermé.
- Le chef du Parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT, interdit), Hamma Hammami, interpellé mercredi, est libéré.
- Les principaux partis d'opposition tunisiens, légaux comme interdits, demandent "le départ de Ben Ali et l'instauration d'un gouvernement provisoire chargé dans les six mois d'organiser des élections libres", dans une déclaration publiée à Paris.
- Le Premier ministre Mohammed Ghannouchi annonce à 17H00 GMT à la télévision qu'il assure l'intérim de la présidence en remplacement de Zine El Abidine Ben Ali, qui a quitté le pays après 23 ans de pouvoir. Il lance un appel à l'unité des Tunisiens, toutes sensibilités confondues et assure que la Constitution sera respectée.
- Selon la Fédération internationale des ligues de droits de l'homme (FIDH), 66 personnes ont été tuées depuis le début mi-décembre des émeutes. En outre jeudi, 13 civils ont été tués à Tunis et sa banlieue et 2 autres à Kairouan, selon des témoins et des sources médicales.
dimanche 6 juin 2010
Spécial Tunisie
* Première Vidéo:
* Deuxième Vidéo:
* Troisième Vidéo:
* Quatrième Vidéo:
* Cinquième Vidéo:
* Sixième Vidéo:
Émission: "Des Racines & Des Ailes"
Date de diffusion: Mercredi 28 avril 2010
Durée : 105 min
L'émission "Des Racines & Des Ailes" de France3, installe son plateau au musée du Bardo, à Tunis, puis dans le palais du baron d'Erlanger à Sidi Bou Saïd. Au sommaire :
- L'héritage de Carthage
Fethi Bejaoui, directeur du site archéologique de Carthage, fait revivre cette grande cité antique.
- Au coeur de la Médina
De la Grande Mosquée aux impasses résidentielles, en passant par les différents marchés, visite de la Médina de Tunis en compagnie de Jamila Binous.
- Tunis, Art Nouveau
Une promenade dans les rues de Tunis permet d'en découvrir les constructions de style Art Nouveau.
- Entre oasis et désert
Plongée dans le Sud tunisien, de Douz, cité aux portes du Sahara, au lac salé de Chott el Jerid et Tozeur, la plus grande oasis de la région, en passant par Tataouine.
* Deuxième Vidéo:
* Troisième Vidéo:
* Quatrième Vidéo:
* Cinquième Vidéo:
* Sixième Vidéo:
Émission: "Des Racines & Des Ailes"
Date de diffusion: Mercredi 28 avril 2010
Durée : 105 min
L'émission "Des Racines & Des Ailes" de France3, installe son plateau au musée du Bardo, à Tunis, puis dans le palais du baron d'Erlanger à Sidi Bou Saïd. Au sommaire :
- L'héritage de Carthage
Fethi Bejaoui, directeur du site archéologique de Carthage, fait revivre cette grande cité antique.
- Au coeur de la Médina
De la Grande Mosquée aux impasses résidentielles, en passant par les différents marchés, visite de la Médina de Tunis en compagnie de Jamila Binous.
- Tunis, Art Nouveau
Une promenade dans les rues de Tunis permet d'en découvrir les constructions de style Art Nouveau.
- Entre oasis et désert
Plongée dans le Sud tunisien, de Douz, cité aux portes du Sahara, au lac salé de Chott el Jerid et Tozeur, la plus grande oasis de la région, en passant par Tataouine.
L'Indépendance De La Tunisie
* Première Vidéo:
* Deuxième Partie:
* Troisième Partie:
La Tunisie passe sous protectorat français en 1881.
Aprés une lutte nationale armée contre les colons, le 3 juin 1955, les conventions franco-tunisiennes sont signées entre le Premier ministre tunisien Tahar Ben Ammar et son homologue français Edgar Faure. Les conventions sont approuvées par le congrès du Néo-Destour tenu à Sfax le 15 novembre de la même année.
Après de nouvelles négociations, la France finit par reconnaître « solennellement l’indépendance de la Tunisie » le 20 mars 1956.
* Deuxième Partie:
* Troisième Partie:
La Tunisie passe sous protectorat français en 1881.
Aprés une lutte nationale armée contre les colons, le 3 juin 1955, les conventions franco-tunisiennes sont signées entre le Premier ministre tunisien Tahar Ben Ammar et son homologue français Edgar Faure. Les conventions sont approuvées par le congrès du Néo-Destour tenu à Sfax le 15 novembre de la même année.
Après de nouvelles négociations, la France finit par reconnaître « solennellement l’indépendance de la Tunisie » le 20 mars 1956.
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