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jeudi 22 octobre 2009
Maroc : Le Désespoir Des Jeunes Au Service Du Terrorisme
Le 11 mars dernier, quatre trains bondés en direction de Madrid explosent à leur arrivée en ville. Un an plus tôt, le 16 mai 2003, 14 kamikazes se faisaient sauter dans cinq endroits différents à Casablanca, la capitale économique du Maroc.
Au total, les deux attentats ont fait près de 250 morts et 1500 blessés. Entre les deux catastrophes, il y aurait peut-être un point commun : une filière marocaine liée à Al-Qaïda, mais surtout des jeunes désespérés qui servent de main-d'œuvre au terrorisme.
Des jeunes qui sont prêts à sombrer dans la violence pour se faire entendre.
Journaliste : Jean-François Lépine
Réalisateur : Georges Amar
jeudi 10 septembre 2009
DGSE: Les Agents Secrets Français
Envoye Special - Services secrets dgse.flv - Watch more Funny Videos
La Direction générale de la sécurité extérieure, couramment connue sous le sigle DGSE, est le service de renseignement extérieur de la France.
Sous l’autorité du ministre français de la Défense, elle est chargée: « De rechercher et d’exploiter les renseignements intéressant la sécurité de la France, ainsi que de détecter et d'entraver, hors du territoire national, les activités d’espionnage dirigées contre les intérêts français afin d’en prévenir les conséquences ».
Avant le décret du 2 avril 1982[5] qui a procédé à sa refondation, ce service s’appelait le Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE).
La DGSE est membre de la communauté française de renseignement.
En 2007 la DGSE avait un effectif total théorique de 4 620 agents. En 1999, la DGSE employait 2 700 civils et 1 300 officiers et sous-officiers. Elle bénéficie également d’un réseau de correspondants bénévoles, basés en France ou à l’étranger, appelés « honorables correspondants ». La DGSE est directement gérée par le ministère de la Défense.
Dans les faits, les effectifs de la DGSE seraient voisins de 4 500 agents, hors Division action (de 800 à 1 000 hommes). La nouvelle loi de programmation militaire (2009-2014 : + 690 emplois) porterait les effectifs de la DGSE à plus de 5 000 hommes, hors Division action.
Il se compose d’un budget officiel, constitué d'une part du budget de la défense de l'État français (voté par le Parlement) qui se chiffre aux environs de 270 millions d’euros et de crédits provenant des fonds spéciaux des services du Premier ministre (et dont l’objet est de financer certaines activités opérationnelles de la Division action) dont le montant n’est connu que globalement (son usage est secret).
Quelques budgets ont été connus :
* 1991 : 0,9 milliard de francs ;
* 1992 : 1 milliard de francs ;
* 1997 : 1,36 milliard de francs ;
* 1998 : 1,29 milliard de francs ;
* 2007 : 450 millions d'euros, plus 36 millions de fonds spéciaux[6].
* 2009 : 543,8 millions d'euros, plus 48,9 millions de fonds spéciaux.
Selon Claude Silberzahn, un des anciens directeurs, le budget se répartirait comme suit : 25 % renseignement militaire, 25 % renseignement économique et 50 % renseignement diplomatique.
Additionnellement, des officiers de la DGSE se voient chargés de la gestion d'un patrimoine clandestin constitué au lendemain de la Première Guerre mondiale par une partie des indemnités que l'Allemagne a versées à la France en application du Traité de Versailles de 1919. Ce patrimoine n'est en principe pas destiné à financer des opérations de la DGSE, mais à rester disponible pour pouvoir assurer la continuité de l'État en cas de crise, notamment financer un gouvernement en exil si le territoire national venait à être mis en danger, par exemple en cas d'invasion.
Toujours selon Wikipedia, Voilà une liste des opérations les plus connues du DGSE:
* Exploitation du réseau « Nicobar » qui permit à la France de vendre 43 Mirage 2000 à l'Inde et de connaître la composition du blindage du char T-72 soviétique ;
* Le 10 juillet 1985, Affaire du Rainbow Warrior : opération « Satanic », une équipe de la DGSE fait exploser dans le port d’Auckland le Rainbow Warrior, bateau de l'organisation Greenpeace, faisant une victime, le photographe néerlandais d'origine portugaise Fernando Pereira ;
* Après leur liberation le 21 décembre 2004, les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot sont « débriefés » au camp de Cercottes;
* Le 12 juin 2005, la DGSE libère Florence Aubenas en Irak;
* Le 14 juillet 2009, deux "conseillers" de la DGSE en mission à Mogadiscio, où ils apportaient une aide en matière de sécurité au gouvernement somalien, sont kidnappés dans leur hôtel par des shebab, miliciens islamistes. Après un mois et demi de détention, Marc Aubrière réussi à s'évader dans des circonstances troubles.
Les agents Secrets "Connus" ou célèbres de la DGSE:
En raison des activités secrètes des agents de la DGSE (et avant du SDECE), il n'est pas toujours facile d'établir l'appartenance de certaines personnes à ce service :
* Pierre Martinet dit Florent (alias Vincent Cassard et Vincent Seyriès) (cf. bibliographie) ;
* Françoise Claustre, otage au Tchad, fait l’objet d’âpres négociations. Son officier traitant, le commandant Pierre Galopin est exécuté le 4 décembre 1975.
* Philippe de Dieuleveult agent disparu en 1985 lors de l’expédition Africa-Raft au Zaïre. Les conditions de sa disparition n’ont toujours pas été élucidées. On évoque que le fait d'avoir été un agent de la DGSE aurait été le motif de son assassinat (Philippe de Dieuleveult était capitaine au 11e Choc);
* Colonel Alain Mafart (alias Alain Turenge), nageur de combat ayant aidé à poser les charges explosives sous le Rainbow Warrior, aujourd’hui photographe animalier (cf. bibliographie) ;
* Alexandre Boillin dit Don Boillini, agent supposé disparu au large de la Sicile en 1994 ;
* Lieutenant-colonel Dominique Prieur (alias Sophie Turenge) : les faux époux Turenge sont impliqués dans l’affaire du Rainbow Warrior (cf. bibliographie) ;
* Jamet Stanislas dit Staz Never, agent supposé depuis 1950 disparu en 1970. Les conditions de sa disparition n’ont toujours pas été élucidées ;
* Gérard Royal, frère de Ségolène Royal. Il a participé à l’opération Satanic contre le Rainbow Warrior ;
* Lieutenant-colonel Bernard Nut, chef de mission, mort en service à Rigaud, le 15 février 1983 ;
* Jean-Claude Bedossa, ancien officier de la DGSE, agent depuis 1945, mort en 1992 ;
* Alain Rodier, ancien officier de la DGSE.
* Guillaume Didier, ancien officier de la Division action de la DGSE, disparu sans laisser de traces en 2003 après l'échec d'une opération-homo au Maroc. Les conditions de sa disparition n'ont toujours pas été élucidées.
* Xavier Maniguet, médecin-colonel, ayant participé à l'opération Satanic (affaire du Rainbow Warrior).
* Jean-François Colobert, ancien officier de le DGSE, à présent aux archives (56-29-33-44), et y classant de nombreuses affaires depuis 1995.
mardi 8 septembre 2009
TAGs: LA GUERRE SOUTERRAINE
Une enquête de Hugo Hayat pour jeudi investigation Canal+:
Chaque nuit, des tagueurs descendent sur les dangereuses voies électrifiées du métro parisien avec leurs bombes aérosols.
Il y a un an, l'un d'eux, Opéa, est mort, électrocuté. Plusieurs de ses amis ont été arrêtés et condamnés à quatre mois de prison avec sursis et 8000 euros d'amende, pour «dégradations en réunion».
Taguer est interdit. Quand on se fait arrêter, on risque jusq'à cinq ans de prison et 175000 euros d'amende.
Qu'est-ce qui pousse ces jeunes à prendre autant de risques pour peindre des fresques sur les murs, ou laisser simplement leur signature en lettres géantes calligraphiées ?
S'agit-il d'une démarche libertaire ? Ou d'un besoin constant d'adrénaline ?
vendredi 4 septembre 2009
Star Wars En Irak
Un bus irakien arrive à l'hôpital de Hilla, à 100 km de Baghdad, il contient de nombreux corps atrocement mutilés. Il n’y a pas eu de bruit, pas d’explosions, pas de projectiles, pas d’impacts, et des dizaines de passagers ont été amputés et mutilés d’un seul coup. Comme découpés par un laser surpuissant.
Les armes a énergie dirigée sont une réalité : Laser Tactique à Haute Énergie (THEL), Système de Défense Actif (ADS) utilisant des micro-ondes à haute puissance, ces armes sont déployées et testées par l’armée américaine en Irak et en Afghanistan. Les recherches sur ces armes technologiques terrifiantes sont admises, mais leur utilisation n’est pas reconnue officiellement. Pourtant de nombreux témoins, documents et rapports montrent que plusieurs lasers THEL et systèmes ADS sont en place au Moyen-Orient.
Sources:
Le documentaire sur le site de Rai News :
http://www.rainews24.it/ran24/inchieste/guerre_stellari_iraq.asp
La page officielle de l’Active Denial System sur le site du Joint Non-Lethal Weapons Program, consortium américain des différents organismes militaires et de défense qui encourage la recherche et l’utilisation des armes dites "non-léthales":
https://www.jnlwp.com/ActiveDenialSystem.asp
Le Laser Tactique à Haute Energie sur le site de son constructeur Northrop Grumman:
http://www.st.northropgrumman.com/capabilities/directed_energy_syst/laser_systems/chemical_lasers/tactical_high_energy.html
Le système THOR, laser à haute énergie portable couplé à une mitrailleuse de calibre 12.7 mm, le tout commandé à distance pour "déminer" et faire sauter les bombes au bord des routes:
http://www.defense-update.com/products/t/thor-IED.html
Enquête sur "Le Secret"
Le livre «Enquête sur Le Secret» est le seul ouvrage qui jette un regard véritablement critique sur «Le Secret» de Rhonda Byrne et la loi de l'attraction.
Il s'agit d'une incursion dans les coulisses du Secret, ainsi qu'un examen des conséquences néfastes vécues par certains adeptes de la loi de l'attraction.
Entre tendance sectaire et pseudo-science, cette enquête cherche à analyser "le secret de l loi d'attraction" sous un nouveau jour..
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