Depuis les années soixante-dix, on parlait déjà de "crise d’intellectuel", ou "crise de philosophie" ; tellement on s’attendait à l’avènement d’une pensée qui remet en question les deux idéologies dominantes de l’époque, à savoir : le Capitalisme, et le Communisme. Une réflexion nouvelle qui tente de tirer le meilleur des deux idéologies, et tente du même coup de résoudre leurs tares.
L’écroulement du mur de Berlin, et l’éclatement du bloc soviétique marquent le début d’un nouvel air ; celui du pôle unique. Une période que certains qualifient de "fin d’Histoire", partant de la conviction que la dualité d’idéologies est un déclencheur qui fait que l’histoire soit en mouvement permanente ; et du fait que le "mono-pôle" ne mène qu’à la dictature de la pensée unique.
La crise actuelle est-elle le fruit d’un monde qui s’est refusé de se corriger depuis plus de vingt ans déja ?
Un constat indéniable est celui de la faillite d’un modèle où compétition et consommation, tous deux sauvages, primaient au détriment de tout autre valeur.Ce débat, sur la chaîne LCP, met sous spot la problématique que le sommet du G20 a essayé désespérément de désamorcer.
Souilem HAOINE
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